Les arbres constituent ne composante majeure de l’écosystème forestier qui fournit à l’homme et à son environnement des multiples services tangibles et intangibles comme la nourriture, l’oxygène, les médicaments, l’énergie bois, les matériaux de construction, les espaces récréatifs, la purification de l’air et la régulation climatique. Il existe un lien indéniable entre la forêt et les changements climatiques.
Le Burundi est dans sa grande partie montagneux, l’érosion emporte donc chaque jour une partie des terres arables car la population ne maîtrise pas les techniques de protection du sol contre celui-ci. La recherche d’une meilleure satisfaction des besoins en produits forestiers doit tabler sur la création des micro boisements et sur l’intégration de l’arbre dans les exploitations agricoles selon un système agroforestier appelé « Système Agro-Sylvo-Pastoral », lequel système intègre bien les trois composantes à savoir : l’agriculture, l’élevage, et la forêt.
Exemple : on a réalisé une étude dans la commune Gisozi, région naturelle du Mugamba sur le rôle de l’arbre dans la restauration de la fertilité des sols et de la protection du sol contre l’érosion.
En analysant les résultats, il a été constaté que les plantations d’arbres est le moyen le plus efficace de protection des sols et de maintien de leur fertilité. Néanmoins, cette technique d’intégration des arbres dans les exploitations agricoles doit être accompagnée par d’autres pratiques agricoles pour restaurer de façon optimale la fertilité des sols notamment l’enfouissement des herbes et déchets végétaux et l’interdiction des feux de brousse.
Comparativement aux années antérieures où c’est l’Etat qui produisait et plantait des arbres surtout la formation de grands blocs de boisements industriels, la politique forestière actuelle repose sur la participation des communautés à la base communément appelée « Approche participative » .
Les arbres sont aussi d’une grande utilité dans les villes car ils constituent la grande composante des espaces verts, facteur de beauté des centres urbains.
Une campagne de nettoyage et de délimitation des espaces verts de la ville de Bujumbura est déjà amorcée et une a.s.b.l dénommée Action Ceinture Verte pour l’Environnement mène des travaux de grande envergure dans la réhabilitation des espaces verts à Bujumbura.
Samedi 16 Décembre a été une journée commémorative de l’arbre au Burundi, le thème du jour était : « Tous contre la pollution et la dégradation des terres pour le bien-être de la population ». Le Président du Sénat qui a célébré cette journée avec la population de la colline Kamesa en commune urbaine de Musaga a exhorté la jeunesse à s’investir dans la protection de l’environnement. Ici, les jeunes sont interpellés à mettre leur énergie créatrice au service de l’environnement mais aussi les politiques doivent revoir les budgets accordés à ce domaine et surtout comment promouvoir l’accession des jeunes aux fonds dédiés à cette initiative.
Le Burundi est dans sa grande partie montagneux, l’érosion emporte donc chaque jour une partie des terres arables car la population ne maîtrise pas les techniques de protection du sol contre celui-ci. La recherche d’une meilleure satisfaction des besoins en produits forestiers doit tabler sur la création des micro boisements et sur l’intégration de l’arbre dans les exploitations agricoles selon un système agroforestier appelé « Système Agro-Sylvo-Pastoral », lequel système intègre bien les trois composantes à savoir : l’agriculture, l’élevage, et la forêt.
Exemple : on a réalisé une étude dans la commune Gisozi, région naturelle du Mugamba sur le rôle de l’arbre dans la restauration de la fertilité des sols et de la protection du sol contre l’érosion.
En analysant les résultats, il a été constaté que les plantations d’arbres est le moyen le plus efficace de protection des sols et de maintien de leur fertilité. Néanmoins, cette technique d’intégration des arbres dans les exploitations agricoles doit être accompagnée par d’autres pratiques agricoles pour restaurer de façon optimale la fertilité des sols notamment l’enfouissement des herbes et déchets végétaux et l’interdiction des feux de brousse.
Comparativement aux années antérieures où c’est l’Etat qui produisait et plantait des arbres surtout la formation de grands blocs de boisements industriels, la politique forestière actuelle repose sur la participation des communautés à la base communément appelée « Approche participative » .
Les arbres sont aussi d’une grande utilité dans les villes car ils constituent la grande composante des espaces verts, facteur de beauté des centres urbains.
Une campagne de nettoyage et de délimitation des espaces verts de la ville de Bujumbura est déjà amorcée et une a.s.b.l dénommée Action Ceinture Verte pour l’Environnement mène des travaux de grande envergure dans la réhabilitation des espaces verts à Bujumbura.
Samedi 16 Décembre a été une journée commémorative de l’arbre au Burundi, le thème du jour était : « Tous contre la pollution et la dégradation des terres pour le bien-être de la population ». Le Président du Sénat qui a célébré cette journée avec la population de la colline Kamesa en commune urbaine de Musaga a exhorté la jeunesse à s’investir dans la protection de l’environnement. Ici, les jeunes sont interpellés à mettre leur énergie créatrice au service de l’environnement mais aussi les politiques doivent revoir les budgets accordés à ce domaine et surtout comment promouvoir l’accession des jeunes aux fonds dédiés à cette initiative.